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Farida Aarrass : « Je vous appelle au Rassemblement du samedi 31 mars à la Bourse (Bruxelles) »

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Nous serons très bientôt le 1er avril 2012. J’ai du mal à croire qu’à cette date Ali se trouve toujours en détention arbitraire et cela depuis 4 ans !

Cela fait 4 ans que nous subissons cette épreuve qui à la longue nous épuise, éreinte, use, … Quatre années de lutte sans répit, sans qu’on ne se donne le droit de lâcher le combat !

Dieu sait pourtant à quel point un peu de répit nous ferait du bien !

Mais voilà, nous ne pouvons pas nous le permettre.

Nous ne nous donnons pas ce droit. NON ! Ali est injustement enfermé depuis bien trop longtemps ! Mon cher frère nous manque horriblement ! Il manque à ses parents, à son épouse, à sa fille, à ses frères et sœurs, à ses amis, à ses connaissances… Il manque à tous ceux pour qui il est devenu UN FRERE !

 

Durant ces quatre années, nous n’avons manqué d’interpeller, d’écrire des articles, des récits, des témoignages,…même un livre : « Ali Aarrass, pour l’exemple »

Ces quatre dernières années nous avons organisé des conférences, des meetings, des sit in, des manifestations, des rassemblements,…

Nous savons que ceux et celles que nos appels n’ont pas laissés indifférents sont nombreux.

Certains se sont directement impliqués d’une manière ou d’une autre à notre plus grande joie. D’ailleurs ces derniers ne se doutent même pas qu’ils nous apportent par leur attention, leur implication, leur soutien, le moyen de raviver la flamme de la motivation qu’est celle de ce combat. Un combat qui n’est pas prêt de s’arrêter là, puisque son objectif est d’obtenir la libération d’Ali.

Nous voulons qu’Ali soit libéré ! Oui nous le voulons !

Mais nous ne sommes pas encore assez nombreux à le souhaiter vraiment !

Nous devons réussir à multiplier d’avantage le nombre de personnes qui exige que JUSTICE lui soit rendue et qu’il puisse enfin recouvrir sa liberté !

Je crois sincèrement que si nous étions plus nombreux à réagir, l’impact pourrait sérieusement influencer les décisions prises plus haut.

Voilà quatre ans déjà…

Ce calvaire ne prend pas fin ! Cette épreuve ne se termine pas !

Je suis pleine d’espoir et déçue à la fois. Je garde espoir parce que cet innocent qu’est Ali Aarrass, mon frère, ne peut être privé de sa liberté injustement. Mais je suis déçue de constater que oh combien de personnes, qui sont pourtant bien informés, restent immobiles, refusent de bouger face à une telle injustice, face à tant de souffrances. Ceux qui ne semblent pas être touchés par sa souffrance et la nôtre !

Même s’il faut que ce combat prenne des années…

Même si nous n’arrivons pas à être plus nombreux qu’aujourd’hui, nous, la famille d’Ali Aarrass ainsi que le Comité de Soutien FreeAli, avons pris la ferme résolution de ne jamais l’abandonner et de ne jamais abandonner cette lutte !

J’espère que l’appel au rassemblement prévu ce samedi 31 mars, sur les marches de la Bourse de 15h à 17h, en vue de dénoncer cette détention illégale depuis quatre ans et d’exiger la libération d’Ali Aarrass, sera entendu.

Farida Aarrass.

Exclusif ! Dix-huit parlementaires britanniques pour Ali Aarrass. Achttien Britse parlementairen voor Ali Aarrass

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 The Motion – la motion – de motie – el movimiento

(English)

« That this House recognises the deep concern amongst human rights lawyers and experts on torture across Europe about the 15-year sentence handed down by the Rabat court sitting at Salé to the dual Belgian-Moroccan national Ali Aarrass after a trial that appears to have ignored all due process, relied solely on torture evidence, and which took place a year after the Spanish authorities ignored an instruction by the UN Human Rights Committee not to extradite him to Morocco while the Committee was considering his case; and calls on Her Majesty’s Government to follow the lead of the Bar Human Rights Committee, Freedom From Torture and a number of distinguished Queen’s Counsel to make urgent representations to the Moroccan government to secure justice for Mr Aarrass and his family. »

 

(français)

« Nous souhaitons que cette Chambre reconnaîsse la profonde inquiétude parmi les avocats des droits de l’homme et les experts sur la question de la torture à travers l’Europe, au sujet de la peine de 15 ans prononcée par le tribunal de Rabat contre Ali Aarrass, un Belgo-Marocain.

Ce jugement vient après un procès qui semble avoir nié tous les règles d’un procès équitable. La condamnation est basée uniquement sur des preuves obtenus sous la torture. Ce jugement vient un an après que les autorités espagnoles ont ignoré une instruction, donnée par le Comité des droits de l’homme de l’ONU, de ne pas extrader Ali Aarrass au Maroc, pendant l’examen de son cas par le Comité. Nous demandons au Gouvernement de Sa Majesté de suivre le Bar Human Rights Committee, Freedom From Torture et d’un nombre d’importants avocats, Conseillers de la Reine, dans leur demande au gouvernement marocain de rendre justice de manière urgente à Monsieur Aarrass et à sa famille ».

 

(Nederlands)

« We vragen dat het Parlement de diepe bezorgdheid zou delen, die heerst onder de advokaten voor de Rechten van de Mens en de deskundigen inzake foltering in heel Europa, over de celstraf van 15 jaar die is uitgesproken door de rechtbank Rabat tegen de Belgo-Marokkaan Ali Aarrass. In zijn proces lijken alle regels van een eerlijk proces te zijn geschonden. De uitspraak is enkel gebaseerd op bewijzen die voortkomen uit foltering. Het proces vond plaats, nadat de Spaanse autoriteiten de vraag van het VN-Mensenrechtencomité heeft genegeerd om Ali Aarrass niet uit te leveren aan Marokko, terwijl het comité zijn zaak behandelde. We dringen er bij regering van Hare Majesteit op aan het Bar Human Rights Committee, Freedom from Torture en een aantal onderscheiden advokaten, Queen’s Counsel, te volgen in zijn vraag aan de Marokkanse overheid om dringend gerechtigheid te doen geschieden voor de heer Aarrass en zijn familie. »


(Espagnol)


«Pedimos que esta Cámara comparta la profunda preocupación que prevalece entre los defensores de los derechos humanos y expertos sobre la tortura en toda Europa, respecto a la condena de 15 años dictada por el tribunal de Rabat-Salé contra Alí Aarrass, ciudadano belga-marroquí

Esta sentencia se dicta tras un juicio que parece haber violado todos los requisitos de un juicio justo, basado únicamente en pruebas obtenidas bajo tortura y que tuvo lugar un año después de que las autoridades españolas ignoraron la instrucción dada por el Comité de Derechos Humanos de la ONU para no extraditarlo a Marruecos, mientras el Comité estuviese examinando su caso.

Instamos al Gobierno de Su Majestad a seguir el ejemplo del Comité de Abogados de Derechos Humanos, Freedom from Torture y a los distinguidos Consejeros de Su Majestad para realizar gestiones urgentes ante el Gobierno de Marruecos y que se haga justicia para el señor Aarrass y su familia. »

 

 

Le ministre Didier Reynders répond à Zoé Genot

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21 Question de Mme Zoé Genot au vice-premier ministre et ministre des Affaires étrangères, du Commerce extérieur et des Affaires européennes sur « les infractions contre les droits de l’homme commises à l’égard d’un ressortissant belge extradé au Maroc » (n° 9819)

21.01 Zoé Genot (Ecolo-Groen) : Monsieur le président, monsieur le ministre, j’ai déjà interrogé votre prédécesseur sur ce citoyen belgo-marocain extradé en décembre 2010 de l’Espagne vers le Maroc contre l’avis du Haut Commissariat aux Droits de l’Homme de l’ONU. Et vous avez dû recevoir il y a quelques jours une lettre signée par 16 parlementaires, membres du Parlement fédéral ou des différents parlements régionaux, vous demandant une intervention urgente de la Belgique auprès des autorités marocaines concernant le sort de ce concitoyen détenu au Maroc.

En effet, ce ressortissant belge aurait été victime de torture pendant une période d’une dizaine de jours en garde à vue, il n’aurait pas eu droit à un procès équitable ; au terme de ce procès, il a été condamné le 24 novembre dernier, après une délibération d’ à peine une heure, à 15 ans de prison ferme, sur base d’ « aveux » qui auraient été obtenus sous la torture et dans une langue qu’il ne maîtrise pas.

De plus, la plainte pour torture que ce prisonnier belge a déposée le 2 mai 2011 n’aurait fait l’objet d’aucune enquête : le plaignant n’a pas été interrogé par la police sur ce sujet, aucune expertise médico-légale n’a été réalisée, ni aucune identification des personnes qui auraient commis ces faits. Ce qui évidemment est totalement contraire à la Convention des Nations Unies contre la Torture, pourtant ratifiée par le Maroc.

Nos représentants au Maroc ont-ils rencontré ce prisonnier ? Si non, pourquoi ? Avez-vous eu des contacts avec votre homologue marocain à propos de ce ressortissant belge emprisonné au Maroc ? Si oui, quelle en a été la teneur ? Si non, comment prévoyez-vous d’intervenir auprès des autorités marocaines pour protéger ce ressortissant belge des nombreuses infractions aux droits de l’Homme dont il est victime ?

21.02 Didier Reynders, ministre : Monsieur le président, je vais être relativement bref sur le sujet parce que, comme je l’ai dit tout à l’heure, en arrivant au département, je me suis quand même renseigné sur un certain nombre de situations mais quand vous demandez s’il y a eu des contacts de nos représentants avec ce prisonnier : non, parce que nous n’intervenons jamais pour un binational sur le territoire d’un pays dont il possède la nationalité. La Belgique applique ce principe qui a été confirmé entre autres par la Convention de La Haye du 12 avril 1930 concernant certaines questions relatives au conflit de loi sur la nationalité, stipulant qu’un État ne peut exercer sa protection diplomatique au profit d’un de ses nationaux à l’égard d’un État dont celui-ci est également le ressortissant national. Et la Belgique a signé cette convention. Ce principe est appliqué sans discrimination pour tous les détenus de double nationalité. Le même principe est bien entendu appliqué sur le territoire belge.

Je n’ai donc pas eu de contact avec mon homologue marocain sur le sujet. Cela étant, un contact avec un homologue, lorsqu’il se présentera, n’interdit pas d’évoquer la situation mais pas en ayant l’intention d’une quelconque protection consulaire ou intervention consulaire en la matière.

Je ne prévois donc pas d’intervention spécifique en l’espèce, mais cela n’interdit pas d’en parler.

Je rappelle aussi que, durant la procédure d’extradition, la Cour européenne des droits de l’homme a jugé qu’il n’y avait pas d’objection envers l’extradition vers le Maroc.

21.03 Zoé Genot (Ecolo-Groen) : Monsieur le président, selon une étude juridique en ma possession, depuis 1930, la Belgique n’a pas toujours été très constante dans cet examen pour le traitement des binationaux.

Par exemple, en 1975, dans l’affaire Vladimir Dapcevic, un Belgo-yougoslave arrêté et condamné en Yougoslavie, la Belgique a agi et a tenté d’assurer sa sécurité. En 1983, pour le cas de Yermak Lukyanov, un Belgo-russe, la Belgique a décidé d’intervenir. Dans certains cas, la Belgique a essayé d’assurer la protection diplomatique pour des individus ne possédant pas la nationalité belge en montrant qu’il existait des liens affectifs importants avec la Belgique. Le ministre de la Justice, interrogé au début 2010, a dit au sujet du cas qui nous intéresse aujourd’hui : « Il est clair que nous pouvons suivre le dossier du côté diplomatique parce que c’est un Belge ».

Comme on le voit, nous varions beaucoup sur ce genre de dossiers. J’espère que la raison pour laquelle on ne se soucie pas de ce dossier n’est pas le fait de garder de bonnes relations avec les autorités marocaines ; ce serait bien triste. L’Espagne, par exemple, a refusé l’extradition pour la deuxième personne concernée par cette même affaire, un Hispano-marocain : elle l’a gardé sur son territoire, alors que notre Belgo-marocain a été expédié au Maroc.

J’espère que vous allez examiner à nouveau ce dossier, pour lequel Amnesty et la Cour européenne des droits de l’homme avaient demandé qu’il n’y ait pas extradition, car ils craignaient justement que cette personne subisse la torture et ne soit pas traitée avec un procès clair. Et les observateurs qui ont été là-bas ont constaté que le procès avait été bâclé, fait sur base de preuves extorquées par la torture, sur base de documents en arabe que la personne ne comprenait pas.

21.04 Didier Reynders, ministre : Je serais ravi de recevoir une copie de l’étude juridique dont vous faites allusion. Je dis simplement les 3 éléments que j’ai évoqués : il existe une convention internationale que nous avons signée. J’essaie de voir dans quelle mesure, en respectant cette convention, ce que vous dites peut être retenu. Deuxièmement, je répète ce que j’ai dit, en ce qui concerne la procédure de l’extradition, la Cour européenne des droits de l’homme a jugé qu’il n’y a pas d’objection à l’extradition vers le Maroc. Mais le fait de ne pas utiliser la voie diplomatique et la demande d’utilisation de contacts consulaires n’empêche pas d’en parler aux autorités marocaines. C’est autre chose. Permettez-moi quand même, sauf si le Parlement change d’avis, de respecter encore les conventions que la Belgique a signées.

21.05 Zoé Genot (Ecolo-Groen) : La proposition du ministre d’en parler aux autorités me paraît une bonne proposition. Surtout qu’on a pu voir, par exemple dans certains rapports de WikiLeaks, que la Belgique suivait très attentivement certains procès de ce type au Maroc. J’espère que, ici aussi, elle pourra être aussi active qu’elle ne l’a été dans ces wikileaks qui ont percé au sujet de l’affaire Belliraj.

[Chambre des représentants – Commission des Relations extérieures – Réunion du 7 mars 2012 – Extrait du compte rendu intégral (CRIV 53 – COM 0420)]

Procès Ali Aarrass en appel : photos et pétition pour sa libération immédiate !.

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En route pour le procès et la visite à la prison

 

 

 

Une partie de la délégation au procès en appel du 5 mars 2012

 

 

 

Les soeurs d’Ali, sa femme et son frère devant la prison, avant la visite

 

 

 

La prison de Salé II où Ali est incarcéré

 

 

 

Conversation avec les avocats Maitres Cohen, Marchand et Dadsi

 

 

 

Rencontre avec Mostafa Lmouatissime, secrétaire général du parti Al Badil Al Hadari, un des cinq politiques (avec Mohamed Marouani, Mohammed Amine Regala, Alaa Badella Maa-El Ainin et Abdelhafid Sriti) condamnés dans le procès Belliraj à des décennies de prison et libérés par grâce royale le 14 avril 2011

 

 

 

Rencontre avec Samira Erramach, coordinatrice des familles des détenus et membre de la Coalition nationale pour la libération des détenus politiques restants dans l’affaire Belliraj, et Houria, toutes les deux femmes de détenus.

 

 

 

La prochaine audience du procès en appel aura lieu le 9 avril 2012. Signez la pétition pour sa libération immédiate !

cliquez ici : LIBéRATION IMMéDIATE d’ALI AARRASS !

Le parti CPM (Coalicion por Melilla) demande la libération d’Ali Aarrass

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Par Houda Belabd,

La condamnation à 15 ans de prison du Belgo-marocain Ali Aarrass continue à mobiliser de part et d’autre de la Méditerranée. Mustafa Aberchan, président du parti CpM à Melilia, s’est rendu à l’ambassade du Maroc à Madrid, hier, pour demander, une nouvelle fois, sa libération.

Mustafa Aberchan, le président de la Coalition de Melilla (CpM), parti politique de gauche de la Ville de Meilila, s’est rendu hier, jeudi 1er mars à Madrid pour négocier la grâce d’Ali Aarras à l’ambassade du Maroc en Espagne, rapporte Infomelilla.com Jeudi 24 novembre 2011, Ali Aarass avait été condamné par la cour d’appel de Rabat à 15 ans de prison ferme, après avoir été exatradé par l’Espagne. Il a été reconnu coupable d’appartenance au réseau terroriste Belliraj.

Optimiste, Mustafa Aberchan est presque sûr que sa demande aboutira de façon heureuse. « La Haute Cour [espagnole, ndlr] a jugé qu’il n’y avait pas de cause directe derrière son arrestation », se remémore le président de la Coalition. « Malgré cela, il est en prison et risque d’écoper d’une peine de 15 ans d’incarcération», continue-t-il.

Aberchan a également regretté la torture qu’Ali Aaras a subi depuis le début de son incarcération, après que l’Espagne l’a extradé au Maroc. Selon le chef de la Coalition, la demande d’une grâce reflète trois choses : « notre conviction absolue de son innocence », la situation de la souffrance endurée par lui et sa famille et le fait que la procédure qui lui été imposé met à mal l’Etat de droit en Espagne. Il a rappelé que son parti a porté la cause d’Ali Aarras au Congrès des députés, à l’ambassade de Belgique en Espagne ainsi qu’auprès des ministres espagnols. Il préfère la négociation aux lourds recours judiciaires.

Branle-bas de combat

Farida Aarras, sœur de l’accusé a lancé, hier, sur le réseau communautaire Facebook un appel pour un rassemblement autorisé pour célébrer le 50e anniversaire de son frère. L’évènement aura lieu lundi 5 mars devant les marches de la Bourse, à Bruxelles, et verra la participation de son comité de soutien, en plus de celle de ses proches et amis.

Le 16 février, c’étaient 16 parlementaires belges issus de différentes formations politiques qui ont demandé au ministre des Affaires étrangères de faire pression sur le Maroc pour libérer Ali Aarrass, par le biais d’une lettre ouverte. Début janvier, déjà, l’affaire Ali Aarrass avait suscité l’intérêt de 6 parlementaires britanniques représentant les trois principaux partis politiques du pays. Ils ont introduit une motion (Early Day Motion) exprimant leur préoccupation pour Ali Aarrass devant les deux Chambres du parlement. Ces députés souhaitent que « ce Parlement reconnaisse la profonde inquiétude parmi les avocats des droits de l’homme et les experts sur la question de la torture à travers l’Europe, au sujet de la peine de 15 ans, prononcée par le tribunal de Rabat contre Ali Aarrass ».

SOURCE

 

Ali Aarrass a 50 ans ! Ali Aarrass is 50 ! Venez fêter ça sur les Marches de la Bourse à BXL; kom dat vieren op de trappen van de Beurs te Brussel

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Venez nombreux participer au rassemblement autorisé pour Ali AARRASS le lundi 5 MARS de 18H à 20H sur les marches de la Bourse * La veille, le 4 mars, date de son anniversaire, Ali AARRASS aura 50 ans!
Le 5 mars en matinée aura lieu la deuxième audience de son procès en appel.
Vous aurez l’opportunité d’avoir des informations sur place quant au suivi de cette affaire qui se trouve être rocambolesque!
Le Comité de Soutien d’Ali sera sur les marches de la Bourse afin d’y partager un délicieux gâteau en hommage à son anniversaire.
Ils y vendront aussi les cartes postales que vous pourrez envoyer ensuite à la prison où il se trouve détenu.
Il y aura aussi en vente sur place, le livre : « Ali AARRASS, pour l’exemple » ainsi que des badges.
L’argent récolté servira à payer les frais de justice.

Merci pour votre participation.
Farida AARRASS (soeur d’Ali)

A diffuser très largement svp!

 

 

Kom talrijk naar het verjaardagsfeest voor Ali Aarrass op maandag 5 maart van 18u tot 20u op de trappen van de Beurs te Brussel.

Ali Aarrass wordt 50 jaar op 4 maart. De dag erop, op 5 maart, komt zijn proces voor in beroep. Op 5 maart op de trappen van de Beurs krijgt u alle informatie over het verloop van het proces die dag. En over het verdere vervolg van een zaak die alle verbeelding overtreft.

Op de trappen van de Beurs zal u samen met het Steuncomite van Ali een ​​lekker stuk taart kunnen delen om zijn verjaardag te vieren. We verkopen er kaarten om op te sturen naar de gevangenis. U kan er u badges en het boek: « Ali Aarrass, pour l’exemple » aanschaffen. Alle opbrengst gaat naar de juridische kosten.

Hartelijk dank voor uw deelname.

Farida Aarrass (zus van Ali)

Met dank om deze oproep te verspreiden onder vrienden en contacten !

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